Nous souhaiterions trouver des artistes ayant choisi Sauve comme sujet d'inspiration .
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Bien sûr il y a : Robert Crumb, Peter North, Lucien Coutaud,
Robert Crumb est un auteur de bande dessinée américain, et un musicien compositeur, né à ... Il vit depuis 1990 ou 1991 dans le sud de la France à Sauve
https://www.lemonde.fr/livres/article/2011/11/03/robert-et-aline-crumb-vertiges-de-l-amour
Peter North a fait ses études à l'Ecole centrale d'arts et d'artisanat à Londres. Il a travaillé comme dessinateur, professeur, illustrateur et écrivain, mais était avant tout un aquarelliste passionné de Sauve. il vécu pendant une vingtaine d'années dans le centre historique du village. A travers ses tableaux, il raconte l'atmosphère, la nature et la beauté de Sauve ; il montre la ville, ses vielles maisons et ses habitants, le rythme des saisons, de l'aube au coucher du soleil. L'eau était pour lui un élément indispensable. Son esprit ludique lui a amené à créer le Club nautique de la mer des rochers. Les tableaux de cette exposition représentent l'interaction entre le village et la nature, reflétée dans l’eau du Vidourle.
Lucien Coutaud
naît dans un petit bourg du Gard, entre Nîmes et Beaucaire. Son père Adrien Antoine Coutaud est horloger-bijoutier à Nîmes. Sa mère Françoise Célestine Priad est d'une ancienne famille meynoise. Il passe son enfance et son adolescence à Nîmes, mis à part un court séjour à Marseille en 1917. Assez tôt, il manifeste un caractère inquiet, secret, angoissé, différent de ses camarades et conscient de sa différence ; c'est un homme tourmenté, complexé et généreux à la fois. Dès la fin de sa scolarité, et après avoir effectué un apprentissage d’horloger chez son père, il intègre, en 1920, l’école des beaux-arts de Nîmes, où professe le graveur Armand Coussens. Depuis la disparition de Coutaud, en 1977, le département des Arts du spectacle de la Bibliothèque nationale de France s’est enrichi de nombreuses pièces grâce aux donations de sa veuve. Des donations ont aussi été faites au musée national d'art moderne à Paris (L’Escalier de mademoiselle Phèdre, 1946), au musée départemental de la tapisserie à Aubusson (quasiment tout ce qui concerne le travail de Coutaud pour la tapisserie et la décoration), au musée des beaux-arts de Nîmes (Taureaumagie cathare, 1961 ; Un quinze août nîmois, 1966) et au musée Eugène-Boudin à Honfleur (Les cinq Honfleurais du 15 août, 1962 ; Fragment de plage, 1974).
De nombreux musées ou institutions conservent des œuvres de Lucien Coutaud. Ses archives ont été déposées à la bibliothèque du Carré d’art de Nîmes.
« Dès le tout premier contact avec sa peinture, écrit Jacques Lagarde, un mot vient à l'esprit immédiatement : Surréalisme »8, alors que Lucien Coutaud lui-même a réfuté toute appartenance à ce mouvement : « Toute sa vie, le peintre est le chroniqueur d'un univers dont il est le seul à avoir l'accès. Catalogué dans les décorateurs en tout genre, notamment en raison de sa collaboration avec le théâtre et l'exécution de nombreux cartons de tapisserie, Coutaud, selon Jacques Lagarde, ne comprenant rien à notre univers, en a découvert un à sa mesure et en est devenu l'échotier silencieux et scrupuleux, bâtissant petit à petit son œuvre dans l'angle mort des projecteurs de l'histoire de l'art du vingtième siècle »
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